Bonjour, j’ai un exercice de français sur les propositions subordonnées relative pouvez vous m’aider svp. Relevez les propositions subordonnées relatives. Indiq
Question
Relevez les propositions subordonnées relatives. Indiquez pour chacune quel mot de la phrase elle
complète.
Mme Vauquer tient une pension sordide dans laquelle
logent des gens pauvres.
[...] vers sept heures du matin, le chat de
Mme Vauquer précéde sa maitresse, saute sur les
bullets, y laire le lait que contiennent plusieurs
jalles couvertes d'assiettes, et fait entendre son
rourou matinal. Bientôt la veuve se montre, altiſée
de son bonnel de Lulle sous lequel pend un tour
de faux cheveux mal mis, elle marche en trainas-
sant ses pantoufles grimacées. Sa face vieillotte,
grassouillette, du milieu de laquelle sort un nez
à bec de perroquet, ses petites mains potelées, sa
personne dodue comme un rat d'église, son cor-
sage trop plein el qui flolle sont en harmonie avec
celle salle ou suinte le malheur, où s'est blottie
la speculation, et dont Mme Vauquer respire l'air
chaudement fetide sans en être équrée. Sa figure
fraiche comme une première gelée d'automne.
ses yeux rides, dont l'expression passe du sourire
prescrit aux danseuses à l'amer renfrognement de
l'escompteur, enfin toute sa personne explique la pension, comme la pension implique la personne.
Honoré de Balzac, Le Para Corlet (1835),
1 Réponse
-
1. Réponse badgirl12
Réponse :
Bonjour
Explications :
en gras : les propositions relatives
souligné : le mot complété par ces propositions
Mme Vauquer tient une pension sordide dans laquelle
logent des gens pauvres.
[...] vers sept heures du matin, le chat de
Mme Vauquer précéde sa maitresse, saute sur les
bullets, y laire le lait que contiennent plusieurs
jalles couvertes d'assiettes, et fait entendre son
rourou matinal. Bientôt la veuve se montre, altiſée
de son bonnel de Lulle sous lequel pend un tour
de faux cheveux mal mis, elle marche en trainas-
sant ses pantoufles grimacées. Sa face vieillotte,
grassouillette, du milieu de laquelle sort un nez
à bec de perroquet, ses petites mains potelées, sa
personne dodue comme un rat d'église, son cor-
sage trop plein el qui flotte sont en harmonie avec
celle salle où suinte le malheur, où s'est blottie
la speculation, et dont Mme Vauquer respire l'air
chaudement fetide sans en être équrée. Sa figure
fraiche comme une première gelée d'automne.
ses yeux rides, dont l'expression passe du sourire
prescrit aux danseuses à l'amer renfrognement de
l'escompteur, enfin toute sa personne explique la pension, comme la pension implique la personne.
Quand tu recopies un texte , fais en sorte qu'il n'y ait pas de fautes! merci